Les faits:
Le 14 décembre 2000, deux noirs, Johnatan et Réginald Carr (agés de 20 et 23 ans) font irruption dans une maison ou cinq blancs d'une vingtaine d'année étaient réunis. Armé d'un pistolet semi-automatique, ils les contraignent à donner leur argent. Puis suivirent divers humiliations (je ne donne pas de détails de crainte de donner des idées à certains), ensuite les deux filles furent violées. Puis estimant que le spectacle avait assez duré, ils firent agenouiller les cinq blancs dans la neige et leurs tirérent une balle dans la tête. Avant de repartir, ils roulerent sur les corps de leurs victimes avec leur vehicule. Non contents d'avoir massacré ces cinq innocents,J. et R. Carr retournérent dans la maison de leurs victimes, la cambriolérent et tuerent le petit chien qui se trouvait là.
Et pas un seul mot dans la presse. Vive la censure politiquement incorrect!!!
Seule la presse locale en a parlé, l'affaire ne pouvant être totalement étouffée. Dans une lettre publiée par le Wichita eagle, un ancien enquêteur criminel a ecrit:
1- Les victimes étaient toutes des blancs.
2- Les assassins se sont rendus dans une maison et non un commerce ou plus d'argent aurait du se trouver.
3- Ils ont pris le risque d'être capturé en restant plus de temps que nécessaire avec leurs victimes.
4- Ils ont encore accru ce risque en emmenant leurs victimes dans un lieu ouvert comme un stade.
5- Ils leurs ont tiré une balle dans la tête et ont ensuite roulés sur les corps
Si les criminels avaient étaient blancs, cette affaire aurait était qualifié, dans les grands titres, de "crimes haineux". Il existe un accord tacite entre les journalistes selon lequel seuls les blancs peuvent commettre des "crimes haineux"(1) (2)
(1): voir Ganpac brief, n°222, avril 2001,pp.1-4, "the wichita murders. Proving the manipulation of the american newsmedia". Voir également "The truth at last, N°426, p.9.
(2): Comme vous pourrez le remarquer, dans nos cher médias francais, lorsqu'un blanc maltraite un noir ou un arabe, c'est toujours un pauvre sénégalais ou un pauvre algeriens. Mais quand il s'agit du contraire, l'arabe ou le noir se transforme en pauvre francais défavorisé, en martyr de sa couleur et de ses origines. La presse à deux poids, deux mesures.
http://www.racismeantiblanc.bizland.com/
http://www.conscience-politique.org/2005/remondracismeantiblanc.htm
http://nicolas.picand.com/weblog/la-racisme-anti-blanc-nexiste-pas
